vendredi 29 septembre 2017

Observational studies in human nutrition are a waste of money: polyphenol content of food and hypertension

http://www.mdpi.com/2072-6643/9/10/1069/htm

Not to mention polyphenol cocktail in cancer:
http://www.mdpi.com/2072-6643/8/9/552/htm
Studies on cancer cell culture are of poor value if one considers the high number of factors which affect the fate of cell culture in vitro.

vendredi 22 septembre 2017

mercredi 20 septembre 2017

An éloge of the french women

https://www.vogue.com/article/eat-like-a-french-woman-how-to

Interactions between carbs, proteins and fat

https://www.upi.com/Study-Regular-soda-causes-body-to-store-more-fat-after-high-protein-meals/9501500662710/

https://www.news-medical.net/news/20170725/Sugar-addition-in-diet-and-its-effect-on-appetite-fat-breakdown-and-energy-metabolism.aspx?azosrc=downloadpdfcopyemail

samedi 16 septembre 2017

Levothyrox

Levothyrox : peut-on encore faire confiance aux laboratoires ?

La méfiance vis-à-vis des médicaments se nourrit légitimement des scandales passés et du défaut d'information. Mais faut-il pour autant céder à la panique ? PAR ANTOINE PELISSOLO*, THE CONVERSATION FRANCE

Ils sont 9 000 patients à avoir signalé des effets indésirables du Levothyrox, le médicament pour la thyroïde, et beaucoup à réclamer le retour à l'ancienne formulation. Autre sujet de défiance : la vaccination. Dans notre pays, 39 % de la population estime que ses dangers sont supérieurs à ses bienfaits, selon le sondage le plus récent.

C'est un fait : les Français remettent de plus en plus souvent en cause les informations officielles en matière de santé, en même temps que les recommandations des autorités sanitaires. On spécule sur toutes sortes de raisons qui pourraient expliquer ce phénomène : l'influence de lobbies agissant en sous-main – l'industrie pharmaceutique, les défenseurs des médecines douces ; d'habiles manipulations à visée politicienne, visant par exemple à déstabiliser le nouveau gouvernement ; le succès de la théorie du complot en général…

Soit. Mais l'ensemble de ces motifs ne suffit pas à expliquer des réactions aussi épidermiques. Dans le nouveau Levothyrox, le seul changement d'excipient (substance ajoutée au principe actif) explique difficilement que tant de personnes ressentent des effets secondaires très marqués. De même, comment comprendre que plus d'un tiers des Français soient réticents à se protéger ou à protéger leurs enfants par la vaccination contre des maladies mortelles ?

Il ne s'agit pas de mauvaise foi de leur part, de faiblesse de raisonnement ni de délires collectifs. Mais bien d'une réalité psychologique, et même biologique : l'anxiété et la peur. Ces deux émotions sont ancrées au plus profond de notre ADN et de notre cerveau, car elles sont essentielles à la survie de notre espèce et à son adaptation au monde. Dans certaines situations, elles sont irrépressibles et impactent d'une manière qui peut sembler irrationnelle notre jugement, nos ressentis et nos comportements.

Le cerveau en mode « panique »

En mode « panique », le cerveau débraye et seule compte l'urgence de la mise à l'abri – l'analyse est remise à plus tard. Ceci s'observe clairement chez les personnes souffrant de troubles anxieux, mais ces phénomènes peuvent être à l'œuvre chez chacun d'entre nous quand des facteurs, parfois subtils, créent les conditions d'une menace grave potentielle. En plus de déclencher l'alarme à l'intérieur de soi, la peur a vocation à protéger également les « congénères », en les prévenant du danger détecté. Comme toutes les émotions, elle est donc visible par les autres, grâce aux expressions du visage et à l'attitude générale du corps. Elle est même ressentie et transmissible inconsciemment, du fait de l'empathie.

En plus de cette contagion automatique de la peur, l'anxiété pousse à s'exprimer, à chercher une écoute et souvent du réconfort auprès de l'autre. Il est donc très difficile de ne pas la propager, même involontairement, autour de soi. Et il est trivial de rappeler que les outils modernes de communication et les réseaux sociaux offrent désormais une caisse de résonance infinie à cette tendance déjà naturelle au partage de la peur.

L'anxiété n'est pas la peur

Paniquer face à un prédateur ou à un feu de forêt, d'accord. Mais comment expliquer cette réaction avec un médicament, ou un vaccin ? C'est là qu'il faut différencier la peur de l'anxiété. La première est une émotion primaire et à proprement parler « animale ». Elle survient de manière soudaine et réflexe face au danger. La peur peut surgir en quelques dixièmes de secondes, et disparaître presque aussi vite si la menace est écartée.

Nous avons le même « système de la peur » que la plupart des animaux, tous les mammifères en tout cas, avec des bases cérébrales (cerveau limbique) et hormonales (adrénaline, cortisol…) similaires. En revanche, l'anxiété est le propre de l'humain au cerveau surpuissant, capable de se savoir en vie mais aussi de savoir qu'il va mourir. L'homme possède cette aptitude à garder à jamais en mémoire le souvenir d'une peur violente de quelques secondes, et de la projeter dans l'avenir pour se protéger d'un danger potentiel.

L'anxiété, c'est la peur plus le langage ; c'est la peur anticipée et aussi la peur fantasmée, car l'imaginaire joue chez l'humain un rôle majeur dans sa perception du monde. Pour le meilleur en général, mais parfois pour le pire. C'est là le résultat d'un dialogue complexe et permanent entre le cerveau « du haut », le cortex préfrontal qui calcule, anticipe, pense, essaie de prendre les meilleures décisions ; et le cerveau « du bas », le système limbique qui observe, ressent, rêve, se souvient et vit le monde plus avec les tripes qu'avec des équations logiques.

Les médicaments, la sécurité de nos aliments, sources d'anxiété

L'anxiété a donc le même impact sur notre capacité à raisonner que la peur, même si ses effets se produisent à bas bruit et de manière plus pernicieuse. Et cela d'autant plus sur une question majeure comme celle de la santé, qui touche aux maladies et à la mort. Cette thématique est toujours en tête des préoccupations de la majorité d'entre nous, que l'on soit normalement ou maladivement anxieux, voire phobique. Tous les sujets qui s'en rapprochent, comme les médicaments, les infections ou la sécurité de nos aliments, sont des générateurs d'anxiété sans équivalent.

Dans le cas du Lévothyrox, même si le tour de la question pharmacologique n'a pas encore été totalement fait, tout concourt à créer les conditions d'une panique collective. Les antécédents de scandales sanitaires, tout d'abord, autour de médicaments dont les dangers ont été longtemps cachés comme le Mediator. Le flot d'information et de témoignages inondant les réseaux sociaux et Internet à chacune de ces affaires ne peut que nourrir les inquiétudes.

Ensuite, certains éléments biologiques propres au traitement de la thyroïde jouent. En effet, de faibles variations de dosage de l'hormone thyroïdienne, sans être graves pour l'organisme, suffisent chez certaines personnes à provoquer des symptômes anxiogènes, par exemple de la fatigue ou des palpitations. La mécanique de l'anxiété peut alors se mettre en marche, avec cercle vicieux dans lequel les symptômes ressentis créent de la peur, aggravant elle-même les symptômes en retour.

Pas de malades imaginaires

Il ne s'agit en rien de malades imaginaires, leurs symptômes existent bel et bien. Cependant, une bonne part d'entre eux, comme les migraines ou les nausées, sont suscités par l'effet nocebo, l'inverse de l'effet placebo. Le mot fait référence aux troubles accompagnant la prise d'un médicament mais non liés à des effets pharmacologiques directs. Ils sont liés indirectement au médicament, du fait des craintes du patient à son égard, ou simplement de l'image négative qu'il peut en avoir. Cet effet est scientifiquement reconnu. Il est observé dans de nombreuses études où les sujets reçoivent, sans le savoir ou même parfois en le sachant, une substance inactive et ressentent pourtant, dans plus de 15 % des cas, des maux de tête, des vertiges ou des troubles digestifs divers.

Et, tout comme l'effet placebo repose sur la production par l'organisme de diverses substances bien réelles, notamment les endorphines, l'effet nocebo s'accompagne de modifications cérébrales et hormonales attestant de sa nature physiologique, en plus de sa dimension psychologique. Dans le cas du refus de vaccination, le phénomène est du même ordre, avec cependant une nuance : il s'agit d'un effet qu'on pourrait presque qualifier de nocebo par anticipation, et même par procuration dans le cas de parents s'opposant à la vaccination de leurs enfants. Les débats souvent passionnés et confus sur la potentielle toxicité des vaccins ont créé les conditions de l'anxiété ou au moins d'une méfiance maintenant latente et quasi généralisée.

Une appréciation difficile des risques-bénéfices

L'appréciation des bénéfices et des risques des vaccins est par ailleurs biaisée par le fait qu'ils sont victimes de leurs succès initiaux. La plupart des maladies infectieuses graves s'étant raréfiées grâce à une très bonne couverture vaccinale, il est difficile aujourd'hui de comparer objectivement les avantages potentiels à des inconvénients redoutés, parfois surmédiatisés. Enfin, quand il s'agit d'enfants et plus encore de bébés, la réaction naturelle de peur des parents est plus forte – et se double de la volonté de les protéger. Engendrant ainsi des réactions avant tout émotionnelles.

Ces phénomènes de panique sanitaire risquent de s'étendre, d'autant qu'ils sont exploités par certains de bonne ou de moins bonne foi, qu'ils soient médecins, politiques ou militants. Il est donc essentiel que les pouvoirs publics prennent la mesure de ce risque, en identifiant ses facteurs psychologiques et émotionnels et en anticipant les réactions, aussi bien au niveau individuel que collectif. Les explications viennent trop souvent après coup, comme la conférence de presse tardive de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, à propos du Lévothyrox. Et donc trop tard.

Désamorcer le phénomène passe avant tout par l'écoute et l'information, seuls traitements réellement efficaces contre l'anxiété. Les principaux acteurs de cette prévention doivent être les médecins, les infirmiers ou encore les pharmaciens. Les professionnels de santé sont les premiers à être alertés des inquiétudes de la population, et on doit leur fournir les moyens d'y répondre au plus vite. Plus globalement, nous y gagnerions tous si la formation à la santé et la compréhension de la psychologie et des émotions humaines faisaient partie de l'éducation de tous les citoyens, à l'école notamment.

*Antoine Pelissolo est professeur de psychiatrie, université Paris-Est Créteil Val-de-Marne (UPEC).

NAD for aging people

https://blogs.scientificamerican.com/guest-blog/beyond-resveratrol-the-anti-aging-nad-fad/

The product is Niagen
https://chromadex.com/niagen/niagen/


Human results
https://www.truniagen.com/science.html




Ketone supplementation

http://www.healthline.com/nutrition/do-raspberry-ketones-work#section1

mardi 12 septembre 2017

PPI therapy

An important consideration prior to the start of PPI therapy in any patient is the potential of detrimental effects. According to several studies, prescription of PPIs is inappropriate in 40% to 80% of individuals.33 Proton pump inhibitors can cause adverse drug effects, such as abdominal pain, nausea, diarrhea and constipation. In addition, they have been associated with a variety of other adverse events, including fundic gland polyps secondary to hypergastrinemia,34 hypomagnesemia, hypocalcemia, bone fractures,35,36 decreased absorption of vitamin B12,37 diarrhea,38 and pneumonia,39though evidence for the clinical significance of these relationships is limited. Importantly, a landmark data-mining study published in 2015 concluded that GERD patients treated with PPI have an increased association with myocardial infarction40and a 2-fold increase in association with cardiovascular mortality on survival analyses. Dementia41and stroke42 have also been linked to PPI use.

A recent study suggested that medical error is currently the third leading cause of death in the United States.43 Drug reactions and interactions account for a considerable percentage of these deaths. Proton pump inhibitors have several purported interactions with other medications, the most widely studied of which are clopidogrel and methotrexate.44,45 Thus, for an individual patient, it is pertinent to address the indication of use and balance the risks and benefits of therapy.

jeudi 7 septembre 2017

PURE

http://francais.medscape.com/voirarticle/3603535?faf=1&src=soc_fb_090617_mscpfr_news_PURE

Eating more whole grains reduces colorectal cancer by only 17% (RRR)


Our new report found, for the first time, that eating three servings (90g) of whole grains a day reduces the risk of colorectal cancer by 17 per cent.

The report evaluated all of the research worldwide on how diet, weight and physical activity affect colorectal cancer risk and also confirmed that the following increase colorectal cancer risk:
  • Eating processed meat, such as bacon or salami
  • Eating too much red meat, (over 500g cooked weight a week), such as beef or pork
  • Being overweight or obese
  • Drinking 2 or more alcoholic drinks a day, such as two glasses of wine or two measures of spirit
The report also found that being physically active decreases the risk of colon cancer.

40 cigarettes a day doubles the risk, it means 100% RR increase...
16% RRI with processed meat


12% of RRI with red and processed meat
12% of RRI with red meat and a great heterogeneity (https://www.meta-analysis-workshops.com/download/common-mistakes1.pdf


In all of those meta-analysis apart methodological problems, we see very weak relative risk increase or reduction. As all those studies are observational it does not mean that a causal relationship is involved.

Veganism

http://www.diagnosisdiet.com/micronutrients-mental-health/


mardi 5 septembre 2017

Organic/Bio: la polémique

Tout d'abord laissons les français libres d'acheter ce qui leur plaît.
Ensuite soulignons que ce qui détruit notre agriculture ce n'est pas le bio c'est le sandwich charges / subventions.
Enfin reconnaissons que les experts français sont en général assez médiocres et que c'est la principale raison de leur sous représentation dans les organismes de l'UE. Ce Pr Tournesol n'échappe pas à la règle. Le bio est certainement une production intéressante pour la santé humaine dans certains domaines.
Les kiwis ne sont pas ou peu traités car cette liane est très résistante. Donc... En revanche en élevage la viande est souvent nourrie à l'herbe en majorité et cela confère des propriétés intéressantes en particulier les acides gras oméga 3 qui sont très importants dans notre balance des acides gras et dont les effets sont connus. Autre exemple, lié au plaisir de déguster un fruit avec la peau. Les citrons du conventionnel sont traités à la cire contenant des fongicides et des pesticides or moi j'aime bien manger un citron bien mur comme une pomme en croquant dedans et bien je choisis des citrons des pommes des pêches non traitées...
Donc au lieu de statuer lapidairement soyons intelligents nuancés et documentés...


Another view on atherosclerosis

http://borntoeatmeat.com/?p=636

HIIT is better for your metabolism

http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/obr.12317/abstract?utm_content=bufferba928&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer