L'étude de Samantha Solon-Biet dans cell métabolism est assez paradoxale.
Tout d'abord il s'agit d'une étude sur les souris. Toute extrapolation à l'humain est donc extrêmement difficile. L'autre élément qui est très paradoxal est la constatation que la plus longue survie est obtenue avec un rapport élevé de glucides par rapport aux protides et aux lipides. Certes les glucides sont de plusieurs natures mais compte tenu de l'abondance alimentaire il est extrêmement hasardeux de vouloir extrapoler ce résultat à l'humain. La raison en est simple aujourd'hui l'augmentation du diabète type 2 est au moins en partie due à l'augmentation de la consommation de glucides qu'ils soient rapides ou "lents".
http://www.cell.com/cell-metabolism/abstract/S1550-4131(14)00065-5 |
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