jeudi 21 décembre 2017

Écrire genre dans un titre c'est être sur d'être publié...

Il est fascinant que malgré la réalité des faits c’est-à-dire l'énorme gap d’espérance de vie entre les hommes et les femmes, des personnes puissent établir des hypothèses concernant la maltraitance des femmes, les formuler, ne jamais les prouver et les publier dans des livres au lieu de s’adresser aux journaux à comité de lecture.
Ce journal The Conversation qui se targue d’avoir des personnes qui font des déclarations d’absence de conflit d’intérêt ferait mieux de regarder quel est l’intérêt d’un auteur quand il vient de publier un livre.

Cela me rappelle Priscille Touraille et sa fameuse théorie de la différence de taille entre les hommes et les femmes induite par une maltraitance nutritionnelle.


L'expérience historique est tout autre. Les femmes occidentales délivrées des tâches harassantes par le capitalisme marchand ont conservé en revanche la prudence dans les conduites à risque qu'elles avaient apprises des périodes de vie difficile, la guerre mais pas que et elles en tirent aujourd'hui les bénéfices en espérance de vie.
En même temps (et oui) un train en cache un autre celui de la pilule du tabac et de l'alcool qui fait des dégats chez les baby boomeuses.

Alors bien sur mon analyse basée sur des faits est moins vendeuse que l'idéologie des postmarxistes.



L'épidémiologie n'est pas une photo coloriée à la Bourdieu c'est une histoire, une vidéo, cela s'appelle la vie...

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