https://www.nature.com/articles/s41370-023-00601-6
It's always the same story. Weak associations in observational studies that cast doubt on a chemical molecule. Should it be eliminated? The answer is simple if it has no use it is preferable. Otherwise, a benefit/risk ratio must be carried out.
"In conclusion, we report various associations between exposure to environmental chemicals and previous cancer diagnoses that have not been previously explored. Several PFAS chemicals were positively associated with odds of previous melanoma diagnosis among only women, and various PFAS and phenols were positively associated with odds of previous ovarian cancer diagnosis. These findings highlight a sexually dimorphic nature of melanoma risk, as well as a potential estrogen-dependent mechanism for both cancer types. We also showed differential associations between environmental exposures and previous cancer diagnoses by racial groups, underscoring racial disparities that exist both in innate risk of cancer outcomes and in exposures to environmental toxicants. Future work in prospective cancer studies should aim to explore the roles of estrogenic chemicals and estrogen disruption in the pathology of melanoma and ovarian cancer and consider racial disparities when evaluating cancer mechanisms and risk. Findings from this study can be used to help inform and prioritize toxicants for policies surrounding greater surveillance of chemical exposures and risk assessment in communities with existing or emerging risk of environmental contamination."
In French:
"En conclusion, nous faisons état de diverses associations entre l'exposition à des substances chimiques environnementales et des diagnostics antérieurs de cancer qui n'avaient pas été étudiées auparavant. Plusieurs PFAS étaient positivement associés à la probabilité d'un diagnostic antérieur de mélanome chez les femmes uniquement, et divers PFAS et phénols étaient positivement associés à la probabilité d'un diagnostic antérieur de cancer de l'ovaire. Ces résultats mettent en évidence la nature sexuellement dimorphique du risque de mélanome, ainsi qu'un mécanisme potentiel dépendant des œstrogènes pour les deux types de cancer. Nous avons également montré des associations différentielles entre les expositions environnementales et les diagnostics antérieurs de cancer selon les groupes raciaux, soulignant les disparités raciales qui existent à la fois dans le risque inné de cancer et dans l'exposition aux substances toxiques de l'environnement. Les travaux futurs dans le cadre d'études prospectives sur le cancer devraient viser à explorer les rôles des produits chimiques œstrogéniques et de la perturbation des œstrogènes dans la pathologie du mélanome et du cancer de l'ovaire et à prendre en compte les disparités raciales lors de l'évaluation des mécanismes et des risques de cancer. Les résultats de cette étude peuvent être utilisés pour contribuer à l'information et à la hiérarchisation des substances toxiques dans le cadre des politiques de surveillance accrue des expositions aux substances chimiques et d'évaluation des risques dans les communautés présentant un risque existant ou émergent de contamination de l'environnement."
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