samedi 30 juillet 2011

vendredi 29 juillet 2011

La question du petit déjeuner...

Petit déjeuner protéiné 1
pommes en dés avec la peau donc bio ou bien sans traitement, amandes soit écrasées (pâte d'amandes) ou bien en petits morceaux ou bien amandes fraîches en saison, deux oeufs crus, myrtilles décongelées ou bien abricot "confitures" congelés dès après l'achat et décongelés la veille. Le tout dans un bol mélanger légèrement. Compléter avec un thé vert avec une cuillère à café de miel.
Petit déjeuner protéiné 2
Jus de légumes frais (céleri, persil, basilic, une tomate, un morceau de gingembre frais), Spiruline mise à tremper dans un bol la veille, des haricots de mer ou bien des algues Nori. Associer à deux oeufs coque ou gobés crus. compléter avec un fruit et un thé vert avec une cuillère à café de miel.
Petit déjeuner protéiné 3
Vous avez fait un peu d'endurance hier? Vous n'êtes pas en surpoids ? Vous pouvez faire ce mâtin un Pooridge avec des fruits rouges. Mélangez un oeuf cru. Buvez aussi 150 ml d'eau au minimum au petit déjeuner surtout si vos yeux sont un peu secs signe de déshydratation persistante après le running d'hier...
Petit déjeuner protéiné 4
Vous achetez du crabe congelé et vous faites une salade très fraiche avec crabe en miettes, citron et tout ce que vous avez enviede manger avec, petites feuilles de salade, oeuf poché, petits cubes de poivrons rouges, avocat Hass bien mur... Ensuite fruits rouges avec des abricots et un thé vert. Petite astuce le crabe royal entier peut s'acheter en hypermarché mais le crabe en miettes est plus difficile à trouver en particulier les chaines de produits congelés n'en ont plus, aller dans un distributeur de produits asiatiques.

dimanche 24 juillet 2011

Saint Jacques et haricots de mer

Saint Jacques, haricots de mer, citron, piment d'Espelette, pas de sel les haricots en apportent suffisamment et c'est fait!

Taxer ou subventionner?

Nous refusons ce débat alors que la malbouffe est source d'externalités négatives très couteuses qui sont réparties sur toute la communauté puisque les soins en France et en Europe sont pris en charge par un mix entre cotisations et impôts... Les recettes actuelles de l'assurance maladie d'état ne couvrant pas les dépenses alors même que les prélèvements obligatoires sont à un taux record de 48% du PIB il convient d'étudier l'économie du problème et sa rationalité.

1/ nous subventionnons déjà la mal bouffe puisque l'alimentation est à 5,5% de TVA tandis que les biens de consommation courante sont à 19,5%! Un comble quand on sait que ce que l'on appelle l'alimentation c'est 80% de produits industriels... Donc les sodas au fructose sont à 5,5% de TVA, merveilleux pour ceux qui les vendent... Et couteux pour les payeurs de taxe qui assurent le fonctionnement de l'assurance maladie qui soigne les diabétiques type 2.

2/ En ne taxons pas la mal bouffe nous acceptons un manque à gagner certain pour l'assurance maladie et un défaut d'incitation à un choix responsable pour les consommateurs. Nul doute que dans cette affaire la rationalité est que l'état choisit de s'aligner sur les lobbies de l'industrie agro-alimentaire qui produit ces aliments.

3/ Et bien sur plusieurs voix s'élèvent pour subventionner les fruits et légumes car leur consommation serait dépendante du niveau de revenus. Les études sur ce sujet sont assez contradictoires et d'une manière générale enytachées de biais multiples. Les constatations étant le plus souvent non causales. Qu'importe! Certains conseils généraux distribuent déjà des "bons" alimentaires, des primes "obésité" et des subventions pour acheter des fruits et légumes... Outre le coût pour les finances publiques cette solution est la pire car elle incite au trafic et n'assure en rien un changement de comportement puisque un consommateur pourra saisir l'aubaine de la subvention et continuer à acheter des sodas, ou bien manger quelques légumes et des sodas ou "jus de fruits" chargés de fructose...

Il serait plus logique d'appliquer le principe pigouvien de la taxation réelle des externalités négatives puisque nous connaissons aujourd'hui parfaitement les couts pour l'assurance maladie des maladies chroniques liées à la mal bouffe. Taxer les produits industriels particulièrement délétères, sodas, biscuits contenant des acides gras trans, produits industriels contenant du sel en grande quantité etc... aurait un effet positif sur les finances publiques et incitateur sur une consommation plus responsable vis à vis de sa santé qui rappelons le est un capital personnel que chacun décide d'entretenir ou de dilapider, la prise en charge de la maladie étant assurée par la collectivité.

Subventionner c'est déresponsabiliser et vérifier une fois de plus que ce qui est gratuit n'a pas de valeur.



http://www.nytimes.com/2011/07/24/opinion/sunday/24bittman.html?pagewanted=3&src=recg

http://www.foodanddrinkeurope.com/Financial/French-MP-threatens-tax-hike-on-sweetened-soft-drinks/?c=FjtV5i5%2BysJCFMnVdnd%2BbyD49MPMY4XT&utm_source=newsletter_daily&utm_medium=email&utm_campaign=Newsletter%2BDaily


“The Problem of Social Cost,” by Ronald H. Coase. Journal of Law and Economics, Vol. 3 (October 1960).


“Externality,” by James Buchanan and William C. Stubblebine. Economica, Vol. 29 (November 1969).



Le boeuf à l'herbe: quelques astuces pour le trouver...

Tout d'abord revenons brièvement sur les avantages nutritionnels et gustatifs. Ils sont liés à l'alimentation de l'animal avec de l'herbe qu'il se procure dans des pâturages l'été et du fourrage l'hiver. La technique de "finir" au grain les quatre pattes est délétère pour le consommateur car elle détruit l'équilibre des acides gras et d'autres caractéristiques de la viande. Elle est cependant très avantageuse pour le producteur car l'animal prend beaucoup de poids en peu de temps et le revenu est proportionnel au poids et non à la masse maigre... La prise de poids est la plus forte avec le maïs, la stabulation totale et la prise d'antibiotiques pour supprimer une partie de la masse de bactéries du rumen devenue inutile puisque l'animal n'est plus nourri avec de l'herbe qui contient beaucoup de fibres nécessitant une prédigestion par les bactéries... La viande à l'herbe est maigre, la viande finie au grain ou à la farine de céréales est grasse et le gras contient un rapport W6/W3 très élevé.
Ainsi il est préférable de manger de la viande à l'herbe plutôt que de la viande finie au grain fut elle bio ou d'appellation renommée.
Comment la trouver? D'abord il y a plus de bêtes nourries à l'herbe en été et en automne et surtout en demi montagne où les espaces ne manquent pas. Il faut donc aller chercher ou commander cette viande chez ces producteurs et leur poser franchement la question de la façon dont ils finissent leurs bêtes. Vous pouvez ensuite stocker en congelant cette viande pour les mois d'hiver. Ces producteurs sont retrouvés dans les Pyrénées, les Alpes, le Jura, les Vosges et le Massif central. Ils vendent de plus en plus en direct. Leurs bêtes sont en général non finies au grain ou à la farine de céréales car ils ne sont pas équipés pour ce faire et vendent une partie de leur troupeau à des engraisseurs en plaine qui disposent de bâtiments pour effectuer cette opération en liaison avec les vendeurs de céréales.
Vous pouvez poster vos adresses sur ce blog...

mercredi 20 juillet 2011

Végétarisme et risque cardiovasculaire

 Il est souvent admis que les végétariens ont un risque cardiovasculaire moins élevé que les omnivores. En réalité ce n'est pas du au végétarisme mais chez la plupart des végétariens à une diminution calorique par rapport aux omnivores. C'est une illustration des biais dans lesquels les pensées réductionnistes s'engouffrent. En revanche les végétariens ont d'authentiques facteurs de risque spécifiques des maladies cardiovasculaires même ceux et celles qui ne sont pas en surpoids. Il s'agit d'abord d'un déficit en oméga 3 longue chaine. Ensuite d'une hypovitaminose B12. Dans les deux cas les végétariens qui veulent conserver leur pratique et diminuer les risques de survenue d'une thrombose peuvent recourir aux suppléments. L'huile de Krill ou de chair de poisson est un produit "animal" mais s'agissant de la vitamine B12 on peut s'aider de la consommation de Natto un produit fermenté de graines de soja. L'apport n'est cependant pas important (1 à 2 microgramme/kg), si bien que les suppléments conventionnels sont indiqués.
 
 
 
 
 
J Agric Food Chem. 2011 Feb 9;59(3):777-84. Epub 2011 Jan 4.

Chemistry behind Vegetarianism.

Source

Department of Food Science and Nutrition, Zhejiang University, Hangzhou, China. duoli@zju.edu.cn

Abstract

This review summarizes the effect of a habitual vegetarian diet on clinical complications in relation to chemistry and biochemistry. Omnivores have a significantly higher cluster of cardiovascular risk factors compared with vegetarians, including increased body mass index, waist to hip ratio, blood pressure, plasma total cholesterol (TC), triacylglycerol and LDL-C levels, serum lipoprotein(a) concentration, plasma factor VII activity, ratios of TC/HDL-C, LDL-C/HDL-C and TAG/HDL-C, and serum ferritin levels. Compared with omnivores, vegetarians, especially vegans, have lower serum vitamin B₁₂ concentration and n-3 polyunsaturated fatty acid (PUFA) levels in the tissue membrane phospholipids, which are associated with increased collagen and ADP stimulated ex vivo whole blood platelet aggregation, plasma 11-dehydrothromboxane B₂, and homocysteine levels and decreased plasma HDL-C. This may be associated with an increased thrombotic and atherosclerotic risk. It is suggested that vegetarians, especially vegans, should increase their dietary n-3 PUFA and vitamin B₁₂ intakes.

dimanche 17 juillet 2011

Nutrigénomique et conseils nutritionnels personnalisés

Sur cette image on comprend bien un concept central en nutrition: les aliments contiennent des formes moléculaires qui sont des INFORMATIONS. Ainsi la conception réductionniste chimique ou calorique se trouve complètement transformée. Bien sur si votre ration calorique est du double de vos dépenses vous allez prendre du poids mais pas de la même façon et à la même vitesse selon les aliments... Ces informations vont interréagir avec les gènes et orienter différemment le métabolisme. Voilà pourquoi la dysnutrition des aliments industriels ne peut être annulée par le sport, les suppléments les plus sophistiqués et nombreux, la méditation ou tout autre moyen. Cette information qui est transmise au génome est incontournable. La dysnutrition industrielle n'est pas un manque de ceci ou de cela, un trop de ceci ou de cela c'est une alimentation qui transmet à votre génome des informations erronées. Ce génome a une marge d'adaptation mais quand 80% de l'alimentation est transformée depuis la vie in utero jusqu'à la vieillesse cette adaptation ne fonctionne plus nous entrons dans la maladie.
http://www.nugo.org/publicpage.m?key=everyone&trail=/everyone

jeudi 14 juillet 2011

US ethanol refiners use more corn than farmers/ Les distillateurs d'éthanol utilisent plus de maïs que les fermiers US

Voilà pour le maïs l'identité certaine des "spéculateurs" sur les matières premières... Les écolos et leurs politiques subventionnistes peuvent être dangereux.


US ethanol refiners use more corn than farmers
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By Gregory Meyer in New York
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The US Department of Agriculture estimates that in the year to August 31 ethanol producers will have consumed more than 40% of last year's harvest
Read the full article at: http://www.ft.com/cms/s/0/77dfcd98-ac9f-11e0-a2f3-00144feabdc0.html

Choose glass for food / Préférez le verre pour vos aliments

L'invasion du plastique et les différences entre les types de plastique ne doivent pas nous faire oublier que le verre est peu onéreux recyclable et parfaitement sain. Il est nettoyable avec une grande fiabilité et ne relargue rien dans les aliments...Lui préférer l'acier pour les récipients transportables et garder le verre avec obturation par du liège du bois ou un couvercle étanche chaque fois que possible à la maison.

 

lundi 4 juillet 2011

Le gluten et votre cerveau

Les céréales et principalement celles qui contiennent du gluten ont envahi notre alimentation. Sur le plan nutritionnel ces aliments présentent de nombreux effets secondaires au niveau digestif et cérébral. le discours ambiant très idéologisé par le végétarisme véhicule l'idée qu'il s'agirait de la base de notre alimentation. Rien n'est plus faux pendant toute l'histoire de l'humanité à l'exception des 10000 dernières années et surtout des deux derniers siècles nous n'avons pas consommé de céréales, les animaux d'élevage non plus... Il convient donc de reconsidérer les signes digestifs et cérébraux d'une intolérance au gluten.







Biol Psychiatry. 2010 Jul 1;68(1):100-4. Epub 2010 May 14.

Markers of gluten sensitivity and celiac disease in recent-onset psychosis and multi-episode schizophrenia.

Source

Stanley Research Program at Sheppard Pratt, Department of Pediatrics, Johns Hopkins School of Medicine, Baltimore, Maryland 21204, USA. fdickerson@sheppardpratt.org

Abstract

BACKGROUND:

Increased immune sensitivity to gluten has been reported in schizophrenia. However, studies are inconsistent about this association.

METHODS:

The sample of 471 individuals included 129 with recent-onset psychosis, 191 with multi-episode schizophrenia, and 151 controls. Immunoglobulin (Ig)G and IgA antibodies to gliadin and to tissue transglutaminase, and IgG antibodies to deamidated gliadin were measured. Quantitative levels of antibodies in the psychiatric groups were compared with controls. All participants were categorized as to whether their levels of antibodies met standardized cutoffs for celiac disease. HLA DQ2 and HLA DQ8 alleles were detected by real-time polymerase chain reaction.

RESULTS:

Individuals with recent-onset psychosis had increased levels of IgG (odds ratio [OR] 5.50; 95% confidence interval [CI] 2.65-11.42) and IgA (OR 2.75; 95% CI 1.31-5.75) antibodies to gliadin compared with control subjects. Individuals with multi-episode schizophrenia also had significantly increased levels of IgG antibodies to gliadin (OR 6.19; 95% CI 2.70-14.16). IgG antibodies to deamidated gliadin and IgA antibodies to tissue transglutaminase were not elevated in either psychiatric group, and fewer than 1% of individuals in each of the groups had levels of these antibodies predictive of celiac disease. There were no significant differences in the distribution of the HLA DQ2/8 alleles among the groups.

CONCLUSIONS:

Individuals with recent-onset psychosis and with multi-episode schizophrenia who have increased antibodies to gliadin may share some immunologic features of celiac disease, but their immune response to gliadin differs from that of celiac disease.

Copyright 2010 Society of Biological Psychiatry. Published by Elsevier Inc. All rights reserved.



dimanche 3 juillet 2011

Viande a l'herbe en Hautes Pyrenees

Bœuf, veau, porc et poulet par des éleveurs du 65 en demi-montagne et une distribution sous vide. Le boeuf et le veau que j'ai goute sont excellents! Comme toutes ces viandes a l'herbe elles sont très gouteuses surtout crues, très maigres et donc a faire cuire le cas échéant a basse température et très peu de temps! Les abats semblent limites au foie.
Adresse
Altibio@free.fr
0562352773