Additional corresponding author: Dr. Young Ju, E-mail: yhju@vt.edu
vendredi 28 février 2014
Les biscottes sont tout sauf un produit de régime
les biscottes sont des produits à index glycémique élevé, contenant en plus du sucre ajouté...
100 g de biscottes c'est 71 g de sucres...
Vous pouvez lire les informations nutritionnelles?
Non bien sur.
Vous pouvez lire la marque, le mot froment, le N° Azur pour poser des questions qui ne vous viendront jamais à l'esprit?
Oui bien sur.
A step forward and an actual re-activity of FDA about added sugars
http://www.fda.gov/NewsEvents/Newsroom/PressAnnouncements/ucm387418.htm
"I never thought the FDA would have the courage to do this. It will not be comfortable for makers of packaged foods of low nutritional quality."
M Nestle
http://www.foodpolitics.com/2014/02/fdas-new-food-label-much-improved/
And more about labelling and design:
http://www.fastcodesign.com/3027053/what-leading-designers-think-of-the-fdas-new-nutrition-label?partner=newsletter
PROPOSED FORMAT
CURRENT FORMAT
"I never thought the FDA would have the courage to do this. It will not be comfortable for makers of packaged foods of low nutritional quality."
M Nestle
http://www.foodpolitics.com/2014/02/fdas-new-food-label-much-improved/
And more about labelling and design:
http://www.fastcodesign.com/3027053/what-leading-designers-think-of-the-fdas-new-nutrition-label?partner=newsletter
jeudi 27 février 2014
Do you need Soy? Obviously no...
Research Article
Long-term exposure to dietary sources of genistein induces estrogen-independence in the human breast cancer (MCF-7) xenograft model
- Juan E. Andrade1,
- Young H. Ju2,†,
- Chandra Baker2,
- Daniel R. Doerge3,
- William G. Helferich1,*
Article first published online: 24 FEB 2014
DOI: 10.1002/mnfr.201300780
© 2014 WILEY-VCH Verlag GmbH & Co. KGaA, Weinheim
Issue
Molecular Nutrition & Food Research
Additional Information(Show All)
Author Information
- 1Department of Food Science and Human Nutrition, University of Illinois at Urbana-Champaign, Urbana, IL, USA
- 2Department of Human Nutrition, Foods and Exercise, Virginia Polytechnic Institute and State University, Blacksburg, VA, USA
- 3National Center for Toxicological Research, U.S. Food and Drug Administration, Jefferson, AR, USA
- †
* Correspondence: Professor William G. Helferich, Department of Food Science and Human Nutrition, University of Illinois at Urbana-Champaign, 905 S. Goodwin, Urbana, IL 61801, USA
E-mail: helferic@illinois.edu
E-mail: helferic@illinois.edu
mercredi 26 février 2014
The so called "Low" calorie or low fat foods are also a marker of poor diet!
Low-calorie- and calorie-sweetened beverages: diet quality, food intake, and purchase patterns of US household consumers1,2,3
+Author Affiliations
- 1From the Department of Nutrition, Gillings School of Global Public Health, University of North Carolina at Chapel Hill, Chapel Hill, NC.
+Author Notes
- ↵2 Supported by the Robert Wood Johnson Foundation (grant 70017) and the CPC 5 R24 HD050924.
- ↵3 Address correspondence to BM Popkin, Carolina Population Center, University of North Carolina, 123 West Franklin Street, Chapel Hill, NC 27516. E-mail: popkin@unc.edu.
Abstract
Background: Few studies have investigated the diet quality of consumers of low-calorie-sweetened (LCS) and calorie-sweetened (CS) beverages.
Objective: The objective was to examine the dietary quality and adherence to dietary purchasing and consumption patterns of beverage consumers from 2000 to 2010.
Design: We analyzed purchases for 140,352 households from the Homescan longitudinal data set 2000–2010 and dietary intake from NHANES 2003–2010 (n = 34,393). We defined mutually exclusive consumer profiles as main exposures: LCS beverages, CS beverages, LCS & CS beverages, and non/low consumers. As main outcomes, we explored dietary quality by using total energy and macronutrients (kcal/d). We performed factor analyses and applied factor scores to derive dietary patterns as secondary outcomes. Using multivariable linear (NHANES) and random-effects (Homescan) models, we investigated the associations between beverage profiles and dietary patterns.
Results: We found “prudent” and “breakfast” patterns in Homescan and NHANES, “ready-to-eat meals/fast-food” and “prudent/snacks/LCS desserts” patterns in Homescan, and “protein/potatoes” and “CS desserts/sweeteners” patterns in NHANES. In both data sets, compared with non/low consumers, both CS- and LCS-beverage consumers had a significantly higher total energy from foods, higher energy from total and SFAs, and lower probability of adherence to prudent and breakfast patterns. In Homescan, LCS-beverage consumers had a higher probability of adherence to 2 distinct patterns: a prudent/snacks/LCS dessert pattern and a ready-to-eat meals/fast-food purchasing pattern.
Conclusions: Our findings suggest that overall dietary quality is lower in LCS-, CS-, and LCS & CS–beverage consumers relative to non/low consumers. Our study highlights the importance of targeting foods that are linked with sweetened beverages (either LCS or CS) in intervention and policy efforts that aim to improve nutrition in the United States.
http://ajcn.nutrition.org/content/99/3/567.short
http://ajcn.nutrition.org/content/99/3/567.short
mardi 25 février 2014
lundi 24 février 2014
Human footprints in UK from 1 M years ago! But UK was not at this time an island!
"Using foot length to stature ratios, the hominins are estimated to have been between ca. 0.93 and 1.73 m in height, suggestive of a group of mixed ages. The orientation of the prints indicates movement in a southerly direction on mud-flats along the river edge."
"Recent analyses suggest a small group of perhaps five adults and children walking along the mudflats of a large river, about a million years ago"
http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0088329
"Recent analyses suggest a small group of perhaps five adults and children walking along the mudflats of a large river, about a million years ago"
Amazing human footprints |
http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0088329
They lived near the sea. Coastal origin of human species? An implied reference to Michael Crawford! |
samedi 22 février 2014
Vous buvez du lait pour vos os?
Plusieurs études depuis plusieurs années ont démontré l'absence de lien positif entre la consommation de lait et le risque de fracture à l'âge avancé ou bien la densité osseuse.
Pourtant cette croyance est fortement ancrée dans l'esprit des populations est par ailleurs l'industrie laitière continue de populariser un lien qui n'existe pas.
La prévention des factures à l'âge avancé, la densité osseuse ont beaucoup plus de liens avec l'activité physique, l'exposition solaire et le taux de vitamine D, la prise alimentaire d'acides gras oméga trois longues chaînes qu'avec l'ingestion de lait des mammifères.
jeudi 20 février 2014
Labelling/étiquettage des aliments
http://www.atlantico.fr/decryptage/pieges-industrie-agro-alimentaires-qu-faut-absolument-savoir-pour-comprendre-etiquettes-arnaud-cocaul-986227.html#0H1QeSVUdIBUCOsw.99
En réalité il faut acheter 80% d'aliments frais et moins de 20% de produits... C'est très simple.
L’étiquetage des produits préemballés indique des informations diverses concernant l’hygiène, les qualités nutritionnelles et gustatives. La réglementation est précise, certaines informations sont tout le temps obligatoires et d’autres le sont dans certains cas.
Voici quelques points importants à savoir pour ne pas se faire piéger en faisant ses courses :
- La liste des ingrédients présente les composants par ordre de poids décroissant.
- Les quantités sont indiquées pour les ingrédients cités dans la dénomination. Par exemple, pour une pizza au fromage, la quantité de fromage doit être indiquée.
- La dénomination de vente indique la nature du produit acheté et non le nom commercial. On achète du poisson, cela doit être indiqué.
- Les coordonnées de la société responsable doivent figurer sur l’étiquetage avec un numéro d’identification du produit et du lot.
- Les traitements subis par le produit (surgélation, pasteurisation, appertisation, fumaison, déshydratation, conservation par ionisation, etc.) doivent être mentionnés.
- Les additifs sont classés par catégorie.
- La présence d’édulcorants doit absolument être mentionnée.
- Les allergènes potentiels doivent apparaître (14 allergènes majeurs sont répertoriés et doivent être clairement mentionnés).
- La présence d’OGM doit être obligatoirement mentionnée également.
- Le poids indiqué est net (avant mise sous emballage).
- Le degré d’alcool doit obligatoirement apparaître s’il est supérieur à 1,2%.
- La date limite de consommation (DLC) doit obligatoirement figurée pour les denrées périssables et doit être impérativement respectée.
- La date limite d’utilisation optimale (DLUO) indique le moment où le produit perd une partie de ses qualités gustatives et/ou nutritionnelles mais peut continuer à être consommé.
- Les modes de préparation doivent être indiqués ainsi que le mode d’emploi (conseils de décongélation, dosage à respecter, etc.)
Pièges de l'industrie agro-alimentaires : ce qu'il faut absolument savoir pour comprendre les étiquettes
Les étiquettes de vos produits alimentaires sont incompréhensibles ? Maintenant, vous aurez toutes les clés pour les déchiffrer.
Il est parfois difficile de comprendre les étiquettes sur les produits.
L’étiquetage des produits préemballés indique des informations diverses concernant l’hygiène, les qualités nutritionnelles et gustatives. La réglementation est précise, certaines informations sont tout le temps obligatoires et d’autres le sont dans certains cas.
Voici quelques points importants à savoir pour ne pas se faire piéger en faisant ses courses :
- La liste des ingrédients présente les composants par ordre de poids décroissant.
- Les quantités sont indiquées pour les ingrédients cités dans la dénomination. Par exemple, pour une pizza au fromage, la quantité de fromage doit être indiquée.
- La dénomination de vente indique la nature du produit acheté et non le nom commercial. On achète du poisson, cela doit être indiqué.
- Les coordonnées de la société responsable doivent figurer sur l’étiquetage avec un numéro d’identification du produit et du lot.
- Les traitements subis par le produit (surgélation, pasteurisation, appertisation, fumaison, déshydratation, conservation par ionisation, etc.) doivent être mentionnés.
- Les additifs sont classés par catégorie.
- La présence d’édulcorants doit absolument être mentionnée.
- Les allergènes potentiels doivent apparaître (14 allergènes majeurs sont répertoriés et doivent être clairement mentionnés).
- La présence d’OGM doit être obligatoirement mentionnée également.
- Le poids indiqué est net (avant mise sous emballage).
- Le degré d’alcool doit obligatoirement apparaître s’il est supérieur à 1,2%.
- La date limite de consommation (DLC) doit obligatoirement figurée pour les denrées périssables et doit être impérativement respectée.
- La date limite d’utilisation optimale (DLUO) indique le moment où le produit perd une partie de ses qualités gustatives et/ou nutritionnelles mais peut continuer à être consommé.
- Les modes de préparation doivent être indiqués ainsi que le mode d’emploi (conseils de décongélation, dosage à respecter, etc.)
Plus globalement, voici quelques conseils pour vous aider dans vos courses et à la maison :
- Préférez les produits avec des listes d'ingrédients aussi courtes que possible. En effet, plus elles sont courtes, plus les produits sont brutes.
- Vérifiez que l’image de l’emballage correspond avec la liste des ingrédients mentionnés pour éviter les mauvaises surprises.
- Regardez le calcul des données par portion et non pour 100 grammes, ce qui reste vague. Ceci dit, la notion de portion est également floue.
- Vérifiez bien la liste des allergènes.
- Faites attention aux additifs, la liste des "E" doit être la plus courte possible.
- Respectez la date limite de consommation (DLC) mais sachez que vous pouvez toutefois manger sans risque les yaourts au-delà de la DLC.
- Si vous prenez un produit riche en protéines, la teneur en protéines doit être au moins le double de la teneur en lipides afin de limiter l’apport en gras.
- Limitez l’apport en graisses saturées ou en acides gras trans et évitez la mention " huile végétale " qui souvent masque de l’huile de palme ou de coprah donc riches en acides gras saturés.
- Préférez, en cas d’apport en huile, l’huile de colza riche en oméga 3, protecteur cardio-vasculaire.
- Faites attention à la teneur en sel (exprimé souvent en chlorure de sodium ; il faut multiplier par 2,56 pour avoir la teneur en sel).
- Évitez les OGM.
- Préférez les labels bio ou rouge en cas de consommation de poissons emballés.
- Préférez des petits emballages et non des paquets promotionnels disproportionnés à vos besoins.
mercredi 19 février 2014
mardi 18 février 2014
lundi 17 février 2014
dimanche 16 février 2014
samedi 15 février 2014
mercredi 12 février 2014
vendredi 7 février 2014
jeudi 6 février 2014
Hard to believe: you need vitamins but supplements are harmful or useless
"It's disappointing but not surprising that people's beliefs are not modified by scientific evidence," said Dr Paul Marantz, an epidemiologist at Albert Einstein College of Medicine in New York. "People so want to believe there is a magic bullet out there."
Government data show that 90 percent of Americans have diets that contain less than the recommended intake of vitamin E, he said, calling the Swedish study "very interesting and hypothesis-generating," but not one that should change behavior.
Look at this and you will probably change your mind and fill in your caddie instead of prescriptions.
http://annals.org/article.aspx?articleid=1789253&resultClick=3
http://www.reuters.com/article/2014/01/29/us-antioxidants-idUSBREA0S1QV20140129?feedType=RSS&feedName=healthNews
Government data show that 90 percent of Americans have diets that contain less than the recommended intake of vitamin E, he said, calling the Swedish study "very interesting and hypothesis-generating," but not one that should change behavior.
http://annals.org/article.aspx?articleid=1767855 |
http://annals.org/article.aspx?articleid=1789253&resultClick=3
http://www.reuters.com/article/2014/01/29/us-antioxidants-idUSBREA0S1QV20140129?feedType=RSS&feedName=healthNews
Sugar: don't add it to your food if you take care of your CV risk
Nothing in Biology Makes Sense Except in the Light of Evolution
http://paulgriffiths.representinggenes.org/wordpress/wp-content/uploads/publications/C1_35.pdf
http://www.2think.org/dobzhansky.shtml
Just read this piece of T Dobzhansky, it's a monument...
Minimal mutational distances between human cytochrome C and the cytochrome C of other living beings are as follows:
http://www.2think.org/dobzhansky.shtml
Just read this piece of T Dobzhansky, it's a monument...
Minimal mutational distances between human cytochrome C and the cytochrome C of other living beings are as follows:
Monkey | 1 | Chicken | 18 |
Dog | 13 | Penguin | 18 |
Horse | 17 | Turtle | 19 |
Donkey | 16 | Rattlesnake | 20 |
Pig | 13 | Fish (tuna) | 31 |
Rabbit | 12 | Fly | 33 |
Kangaroo | 12 | Moth | 36 |
Duck | 17 | Mold | 63 |
Pigeon | 16 | Yeast | 56 |
mercredi 5 février 2014
dimanche 2 février 2014
samedi 1 février 2014
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