lundi 16 mars 2015

Une question idiote sur la richesse et le bio


Tout d'abord sur la richesse

Il serait rationnel de définir d'abord ce qu'est un individu un ménage riche. Or bien sur c'est difficile. Car la richesse matérielle n'est pas qu'une question de revenu.
Il aurait été aussi très intéressant de conduire une étude pour définir la typologie des acheteurs bio. Non? En effet si on ne mesure pas ce dont on parle et bien les croyances les idéologies ont champ libre...

Ensuite sur le bio

Il est de bon ton de donner la parole aux associations. Encore faut il que les responsables répondent aux questions... Jugez en par vous même.
La bonne question est de savoir si le prix du bio quand il est plus élevé que le non bio représente un avantage nutritionnel, gustatif, de santé ou bien si on nous vend seulement l'hypothétique protection de la planète.
En réalité il y a une ambiguïté parfaitement entretenu pour des raisons idéologiques parle courant écologique qui ne veut entendre parler que des conséquences de notre vie sur l'environnement. Si conséquences sont a priori jugée délai était, comme Lucie l'écosystème était mis systématiquement en danger par la vie humaine. Il n'en est rien. Ce qui met en danger écosystème mais aussi en danger les humains qui y vivent. C'est pourquoi il faut raison garder et analyser tous les sujets pour savoir quels sont les réels conséquences sur l'environnement.
C'est agissant des pesticides, il faut raisonner de manière pragmatique entre bénéficier ici. En Europe, en France, nous n'avons pas besoin de rendement très élevé et nous avons des terres fertiles. L'utilisation de pesticides et et très excessive et elle n'Est elle n'est pas nécessaire à notre survie.
S'agissant des OGM, la situation est totalement différent entre pays en développement est un pays développé à grande puissance agricole comme la France. En réalité l'essentiel de ce qui est reproché aux OGM est reproché au glyphosate et à d'autres pesticides liés aux OGM.
S'agissant des fertilisants, il n'a pas été mis en évidence le lien entre l'utilisation des fertilisants et des problèmes sanitaires.
S'agissant des antibiotiques dans l'élevage il est maintenant certain que leur utilisation est défavorable à la santé humaine.
On le voit bien toutes ces questions doivent être analysés précisément en fonction du rapport bénéfice risque est de chaque situation particulière au sein des pays des régions. Toute exploitation idéologique telle qu'elle est fait actuellement par certains et totalement contre-productif. En revanche il est essentielle que chacun puisse se cultiver sa parcelle de terre comme il l'entend, sans nuire au voisin.




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